J'aurais pensé à une libération bien plutôt saignante à la vue des faux ongles acérés de la prédatrice qui, telle une héroïne, aurait lacéré le voile caoutchouteux et la peau délicate de la prisonnière en même temps pour la délivrer, mais pas à ce point quand même...
Et bien au-delà... cette sensation d'être emprisonné dans une peau qui ne nous appartient pas, d'y perdre le souffle, de se sentir à la merci de la main libératrice, de voir les pores s'ouvrir pour chercher un appel d'air et nous refroidir vainement en exsudant nos fluides corporels... c'est un véritable appel de tous les sens qui doit, à ce moment là, être mis en branle...